TRANSLATION – HERE I PROVIDE AN EXAMPLE OF TAKING ON A NON-TYPICAL LANGUAGE-RELATED CHALLENGE

When you translate, it’s only too easy to argue about how best to ensure the loyal representation of some individual aspect of grammar at some point in the production of the new article, or the best equivalent word, or anything similar. But such concerns, while important in the production of good translation, just fall under the banner of “typical” language-related challenges, and experienced translators know that not all language-related challenges are typical. Not by a long shot.

I wrote this blog to provide an example of my own verbal ingenuity during translating, as part of a challenge of writing a translation of something which involved dealing with a non-typical language-related challenge. To elaborate: the French language doesn’t distinguish between “his” and “her” like English does, and I agreed to write my own French translation of this story https://www.youtube.com/watch?v=CEdDXxiZCPc&t=0s&list=PL0jfgYWBMDOxXOzVCY0plUl-vr8GNxX__&index=3 – one which actually does differentiate between “his” and “her” at every turn just as the English version does. Every single gender-specific pronoun is accounted for and specifically reproduced in some way in the translation – it is the specific way I wrote the story, the artificial expressions I employed, that matter.

Disclaimer: I accept no responsibility for any offence caused by this story. I didn’t write it.

Here we go:

M. HOMMASSE LESBIENNE (par Gary Orsum)

Il y avait une fois pendant laquelle il y a eu une femme ; il s’appellait M. Hommasse Lesbienne.

Il était juste comme les autres filles. Elle avait des seins. Il avait un vagin. Et elle était au courant de la chevelure sur le dos sur sa personne masculine – juste comme les autres filles.

Elle s’habillait comme un homme, mais il parlait et pensait comme une femme. Une fois, M. Hommasse Lesbienne a débuté une grande bagarre, et elle a lutté comme un homme. Mais, plus tard, au tribunal, il a pleuré comme une femme.

Le juge a dit “M. Hommasse Lesbienne est très triste qu’elle ait fait ce qu’il a fait. Il doit être accordé une nouvelle chance pour rédimer elle-même.” Oui, M. Hommasse Lesbienne a été acquis parce qu’il était une femme.

Après avoir quitté le tribunal, M. Hommasse Lesbienne a conduit à grande vitesse à la maison de la petite amie avec laquelle elle fut en une relation amoureuse, dans l’espoir d’avoir un “moment d’action de s’entre-ciselation entre sœurs”.

Il était si pressé qu’elle a presque écrasé M. En-Transition quand il bruisait par-devant, à une vitesse maximale de 64 km p / heure en le Volkswagen Beetle rouge vif qu’elle conduisait.

M. Hommasse Lesbienne était très fière de sa petite voiture.

Où qu’elle allât, les gens souriraient, se tournèraient vers eux-mêmes et diraient, “Quelle putain de voiture laide.”

Après une bonne session de s’entre-ciselation, M. Hommasse Lesbienne, la petite amie d’elle Ana Bolique, et leur enfant adopté Barbara (qui s’appella Barry jusqu’à l’opération transgenre qu’il a dû subir après la décision ses parents quand il avait neuf ans) ont décidé de faire une promenade plaisante.

Ils feraient une promenade toujours, chaque jour, à la recherche d’hommes hétérosexuels, pour cracher sur et jurer à eux.

“Mourrez vous les écumes cisgenres blancs”, chantait le trio joyeux, avec de la rayure collective de leurs régions inférieures mycosées. “Tous les hommes sont malins. Toutes les femmes sont bonnes, à moins qu’ils aiment les hommes, et en tel cas ils sont malignes,” a dit Barbara.

“Barbara, votre mère et moi, nous allons à l’autre côté du parc, où un homme sera flagellé pour ‘homme-aspiration’, mais il n’est pas approprié pour les enfants, donc nous allons te laisser ici, sans surveillance, pour environ 30 minutes,” a dit M. Hommasse Lesbienne.

“Prends cette sucette pour toi pour la période de notre absence, avec laquelle tu dois pratiquer ta compétence de léchage du clitoris. Mais rappel : ne mets jamais ta bouche au-dessus de la chose entière, car cela constitue un acte de fellation,” a raffirmé Ana Bolique.

“Je me rappelle de ce que je dois faire,” a dit Barbara. “Je vais juste le feuilleter très très rapidement avec la pointe de ma langue,” a assuré Barbara.

“Tu es un bon garcon – désolée, je voulais dire une bonne fille,” a dit M. Hommasse Lesbienne.

M. Hommasse Lesbienne ayant vu la flagellation publique, elle a senti un énorme grondement dans son intestin. Elle a pensé à lui-même : “c’est une possibilité excellente d’utiliser une toilette publique”.

M. Hommasse Lesbienne a poussé et poussé, mais rien n’émergerait. “Je ne comprends pas. J’ai un désir ardent à chier, mais le pistolet à peinture est embouteillé,” a réfléchi M. Hommasse Lesbienne.

Puis elle a pensé à lui-même : “Oh, quel(le) sot(te) je suis. J’ai oublié de retirer la carrotte de mon cul.”

Il a été à ce moment-là que M. Hommasse Lesbienne s’est rappellée qu’elle possédait toujours une quantité de carrottes, une desquelles il insérerait dans son cul, pour les temps où il reconnaîtrait qu’elle était en le présence des hommes.

Presque deux heures plus tard, M. Hommasse Lesbienne est enfin sortie de la toilette publique, et a reconnu promptement qu’Ana Bolique et Barbara étaient rentrées à la maison sans elle.

“Les putes de chiennes lesbiennes,” a plaint M. Hommasse Lesbienne, oubliant pour un moment qu’elle en était une lui-même.

“Au moins je peux prendre du réconfort dans le fait que je n’ai pas été abandonnée par un homme,” a pensé M. Hommasse Lesbienne, avec l’emploi d’une logique bizarre selon laquelle être abandonné(e) par une femme est moins offensif qu’être abandonné(e) par un homme.

“Heureusement, étant donné que je suis une lesbienne, je peux infliger de la violence domestique sur Anna et Barbara, et il ne sera enregistré en les figures nationales,” a pensé M. Hommasse Lesbienne à elle-même.

En le soir, toutes les trois dansaient en la cuisine à l’écoute du plus grand hit de leur amie Negrosia. Elle avait trouvé de la gloire et de la fortune après avoir changé son nom à Beyonce.

Après tout ce plaisir, M. Hommasse Lesbienne avait un final cadeau special à partager…

Dans une rage lesbienne ivre, il a assommé Ana et Barbara avec l’objet le plus proche, qui s’est avéré être un grille-pain.

Cette fois, le juge ne serait pas si clément.

“M. Hommasse Lesbienne,” a dit-il d’une voix sévère, “Vous avez tué comme un homme, mais maintenant vous apparaissez devant moi, pleurant comme une femme. Vous êtes une femme qui a apporté de la honte sur lui-même,” le juge a ajouté.

Et avec cela, M. Hommasse Lesbienne a été condamnée à trois années en prison pour deux meutres, le juge ayant prise en compte le fait qu’il était une femme.

La fin.